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Infos utiles

Les étapes à suivre pour bien entretenir une automobile

Rien de mieux pour un automobiliste que de rouler avec une voiture bien entretenue. Pour cela, une vérification systématique du véhicule est de mise. Une simple vidange d’huile tous les 10 000 km ne suffit pas pour un entretien parfait d’une voiture. Vous devez également vérifier de nombreux points afin de réduire ou de limiter les risques de panne. À vrai dire, en contrôlant régulièrement sa voiture, celle-ci ne risque pas de subir une usure prématurée. Si vous souhaitez conserver longtemps votre automobile en bon état, vous n’avez qu’à suivre les conseils qui suivent et il n’existe pas beaucoup de critères à respecter que cela. Pour commencer, il est conseillé de préserver en priorité la garantie légale. Ce dernier reste important tant que la voiture est encore récente, c’est-à-dire moins de cinq ans et cent mille kilomètres, et surtout, il est primordial de suivre à la lettre les préconisations d’entretien du fabricant. Cela étant dit, le constructeur doit intervenir lorsque l’auto a fait l’objet d’un dégât précoce. Cependant, il est porté à votre connaissance que les réparations des vices cachés à réaliser par la marque ne sont pas pris en charge de la garantie constructeur.

Les démarches à ne pas négliger pour assurer la longévité d’une voiture

Le remplacement des fluides et des courroies constitue déjà un geste exceptionnel lors des opérations d’entretien d’un moteur. Même pour un véhicule neuf qui vient d’être acquis auprès d’un professionnel du commerce automobile, comme le mandataire auto IES, cette étape est non-négligeable au bout d’un millier de kilomètres. Ensuite, vous devez prendre soin aussi de vos trains roulants tout en restant à l’écoute de son auto. Dès qu’on soupçonne un bruit étrange au cours de la route, il faut s’en soucier, même s’il ne s’agit qu’une légère perte de performance. Aussi, le stationnement ou le parking compte pour maintenir votre véhicule en état. En effet, les conditions pour se garer doivent être meilleures : pas trop exposé au soleil, au vent et au froid. Les plastiques et les caoutchoucs ne résistent pas beaucoup à cela. L’idéal est tout simplement d’avoir un garage, enfin si on dispose d’un moyen nécessaire pour en construire.

Les gestes à faire au quotidien ou mensuellement

Pour qu’une automobile soit au top de sa meilleure performance, il ne faut pas atteindre des années pour effectuer son entretien. Chaque jour, le conducteur est contraint de vérifier, par exemple, la pression des pneus et leur état d’usure avant de prendre le volant. Il est à savoir qu’un pneu dégonflé peut provoquer une surconsommation et entraîne un comportement routier moins confortable. Si vos pneus sont aussi trop gonflés, alors vos distances de freinage seront augmentées. Si vous conduisez une voiture bénéficiant d’un système hydraulique, vous devez vérifier notamment votre liquide de direction assistée au moins une fois par mois. En ce qui concerne le lavage, celui-ci ne doit pas se faire uniquement au niveau de la carrosserie, mais également au niveau de certaines mécaniques du véhicule.

Assurance auto : quels sont les risques d’un non-paiement de prime ?

Non-paiement de l’assurance et délais légaux

L’article L.113-3 du Codes des assurances prévu pour les cas de résiliations transcrits la démarche de résiliation préétablie. En effet, chaque assuré est tenu de respecter un délai de 10 jours après la date d’échéance pour payer sa prime d’assurance. Passé ce délai, votre assureur vous envoie une mise en demeure par lettre recommandée pour régulariser votre situation sous 30 jours. A l’expiration de ce délai, vous disposez de 10 jours supplémentaires, durant lesquelles vos garanties sont suspendues, pour régler la somme exigée. Votre contrat sera, ensuite, résillié pour impayé bien que le montant de la prime impayée reste à votre charge. Dans le cas où vous vous décidiez de régler votre prime où à la suite d’un accord, vos garanties reprennent effet le lendemain.

Prime fractionnée, les effets du non-paiement demeurent

Sachez que le défaut de règlement d’une seule échéance, bien qu’elle ne constitue qu’une partie de la prime, a les mêmes conséquences que celles de toute une prime annuelle non payée. Dans le cas d’une résiliation pour non paiement, la somme exigée par votre assureur est équivalente à la prime annuelle dont l’assureur soustrait le montant des cotisations déjà versée durant la période en cours. Si votre incapacité de payer votre prime est suite à des difficultés financières dues au paiement de prime au prix exorbitant, nous vous recommandons régler la somme exigée par votre assureur actuel et chercher une nouvelle assurance au prix plus intéressant.

Est-il facile de souscrire un nouveau contrat après résiliation pour non paiement ?

Toute résiliation pour non paiement est inscrite sur le fichier de l’AGIRA que tout assureur peut consulter. Ceci-dit, lors de la souscription, vous ne pouvez pas cacher votre situation de résiliation, un détail qui ne joue pas en votre faveur et repousse l’assureur potentiel vous jugeant comme profil à risque. Ce dernier s’il ne refuse pas votre souscription, vous appliquera une majoration de prime. Vous restez fiché à l’AGIRA tant que vous n’avez pas régularisé votre situation avec votre ancien assureur, étant donné que ce dernier peut vous appliquer les intérêts légaux de retard. Suite à une résiliation, il ne faut surtout pas trop attendre et de souscrire à une nouvelle assurance après un mois maximum de l’annulation du contrat afin de ne pas voir les tarifs proposés montés en flèche.

Comment souscrire un nouveau contrat auto ?

La meilleure solution qui vous reste serait de recourir à une compagnie d’assurance auto spécialisée pour conducteurs à risques. Bien que les tarifs proposés soient relativement élevés, les formules qu’elle pourra vous présenter sont adaptées à votre situation. N’oubliez surtout pas de comparer les offres avant toute souscription pour de meilleures économies.

Points sur le contrôle technique d’une voiture d’occasion

Tout véhicule ayant de plus de quatre ans doit passer le contrôle technique. Cette étape est prescrite par la loi et reste obligatoire même dans le cadre de la vente ou de l’achat d’une voiture d’occasion.

Les raisons de passer un contrôle technique

Depuis janvier 1992, le contrôle technique est devenu une étape obligatoire pour tout véhicule motorisé circulant en France. Il assure l’inspection complète du bon état de marche de l’automobile. En outre, le contrôleur doit aussi vérifier l’état satisfaisant de son entretien. Pour cela, des centres agréés restent disponibles pour effectuer cette opération. À l’occasion de cette dernière, 124 points sont examinés soigneusement au niveau de chaque voiture. Afin de trouver le centre de contrôle le plus proche de chez vous, un mandataire auto peut vous indiquer toute la démarche à suivre pour obtenir la bonne adresse adaptée à vos besoins. Il est à noter que le contrôle technique doit être renouvelé tous les deux ans. Dans le cas où une contre-visite est indiquée après le contrôle technique du véhicule, alors son propriétaire profitera d’un délai de deux mois pour ramener son véhicule dans un centre et de réparer tous les problèmes prescrits tout au long de la vérification.

Le contrôle technique et la vente/l’achat d’une voiture d’occasion

Un mandataire auto peut vous simplifier le contrôle technique, notamment si votre véhicule ferait l’objet d’une vente ou d’un achat. Pour pouvoir vendre une automobile de plus de quatre ans, un contrôle technique convenable de moins de six mois s’avère obligatoire. Au cas où le véhicule en question fera l’objet d’une contre-visite, il ne peut être vendu que dans le délai de deux mois après la visite initiale. En ce qui concerne la vente d’une voiture, le propriétaire doit fournir à l’acheteur le procès-verbal du contrôle technique d’avant vente. Aussi, il procure les procès-verbaux des contre-visites éventuelles, qu’elles soient favorables ou non. Pour information, si le même véhicule est vendu plusieurs fois au cours des six mois suivant la date du contrôle technique favorable, alors le procès-verbal de contrôle peut être utilisé à chaque transaction.

Le contrôle technique de vente, un document indispensable

Le déroulement de la vente d’une voiture d’occasion peut s’effectuer sous la présence d’un mandataire auto. Ceci vous permet de savoir et de comprendre un peu plus l’état des principaux organes du véhicule, car le procès-verbal de contre-visite risque d’être insuffisant pour avoir l’esprit tranquille. Cela étant dit, ce PV ne mentionne pas les petits défauts constatés durant la visite périodique. Sur ce, il demeure essentiel de solliciter au vendeur le procès-verbal de la visite technique initiale. Une fois la vente conclue, l’acheteur dispose de quinze jours à compter de la date de la vente pour procéder à l’immatriculation de son nouveau véhicule. Pour ce faire, il doit se déplacer à la Préfecture, muni du procès-verbal de contrôle technique. Si jamais ce délai est dépassé, l’acheteur est contrait de repasser le véhicule au contrôle technique à ses frais.

Tout sur la batterie d’une voiture

Détecter une panne de batterie n’est pas donner à tout le monde. Pour savoir si votre batterie présente des problèmes ou pas, il se suffit de tourner la clé de contact. Si aucun voyant ne s’allume, cela signifie que votre batterie est peut-être tombée en panne. Pour confirmer si cet élément a bien rendu l’âme, utilisez un voltmètre. Dans le cas où la batterie n’est pas encore en fin de vie, vous pouvez toujours la recharger.

Comprendre le fonctionnement de la batterie

Si vous désirez acheter une nouvelle auto (neuve ou d’occasion), adressez-vous à un mandataire automobile. Ce dernier pourra vous orienter sur le modèle qui correspond à vos attentes et à votre budget. Quand vous aurez le véhicule désiré, n’oubliez pas de prendre soin de sa batterie. En effet, cet élément est en quelque sorte le vrai cœur de la voiture, car elle joue un double rôle. Il distribue notamment la puissance électrique nécessaire au démarreur pour que le moteur puisse démarrer. Il alimente aussi les consommateurs de la voiture lorsque celle-ci est à l’arrêt ou en cas de forte sollicitation. Par ailleurs, pour se recharger, la batterie tirera son énergie de l’alternateur.

Charger la batterie : comment s’y prend-on ?

Avant de changer votre batterie, commencez par vérifier sa taille. Cela vous permettra de savoir si sa dimension n’est trop grande par rapport à son emplacement. Assurez-vous que sa longueur et sa hauteur soient les mêmes que votre précédente batterie. En outre, les véhicules récents sont dotés du système multiplexer. Si l’auto que vous avez achetée chez un mandataire automobile utilise cette technologie, il faudra attendre quelques minutes avant de débrancher votre batterie. À titre d’information, le multiplexer est une technologie qui fait passer des données à travers un unique support de transmission. En plus simple, il a pour rôle de diffuser la même information entre différentes parties électriques ou électronique de la voiture tels que le lève-vitre, le verrouillage, la gestion du moteur, etc.

Comment déposer la batterie ?

Quand vous allez enlever l’ancienne batterie, ne vous précipitez pas à débrancher les 2 bornes en même temps, car cela est très dangereux et peut causer des dégâts mortels. D’abord, commencez par ôter la borne négative(-). Après, enlever la borne positive (+). Sachez que si vous retirez la borne positive en premier, vous provoquerez un court-circuit avec l’outil de démontage. Par ailleurs, avant de monter la nouvelle batterie, prenez soin à bien nettoyer les cosses. Une fois que ces dernières sont nickels, vous pouvez procédez au montage proprement dit. Ce procédé est tout aussi délicat que la précédente. Placez d’abord la batterie à sa place. Ensuite, prenez la borne positive (+) (la plus épaisse) et brancher-la. C’est après que vous allez brancher la borne négative (-). Surtout, ne laissez pas le contact pour qu’il n’y ait pas d’arcs. En outre, en achetant un véhicule chez un mandataire automobile, vous trouverez un modèle avec des batteries fiables.